« Évidemment ... et vous êtes bien les seuls à en faire vraiment parti. »

Avec ces paroles une panoplies d’images défila dans la tête de ma mère. Comment attraper un mal de crâne leçon numéro un: Pénétré dans la tête de quelqu’un et regarder une succession d’images allant à la vitesse éclaire ou presque. D’ailleurs je lus entre deux images qu’elle se demandais comment je ne pouvais pas avoir de mal de crâne. Avec un sourire je lui dit.

« Crois-moi, continue à faire défilé des images dans ta tête et je l’aurais ce mal de crane »

La jeune humaine qui se trouvait non loin de nous, me regardais toujours, je ne pus m’empêche de lire ce qu’elle pensais, avait-elle peur ? Était-elle sous le charme naturel des vampires ? Rien de tout cela, elle se posait des questions, des question du genre; Comment peut-on être aussi beau et belle ? En parlant de moi et Esmée, enfin en pensant à moi et Esmée. Ou Est-ce sa mère, elle est super jeune pourtant. Là encore mon sourire se fit présent, bien que derrière le sourire se cachait la grimace. Oui Edmée à l’air si jeune, mais seulement en apparence. Qui pourrait croire qu’elle a dans la quarantaine. Et surtout qui croirait que j’ai dans la trentaine ? Personne, dit-le à quelqu’un et il vous rira au nez, c’est certain. C’es l’un des avantages d’être vampire, si l’on est transformé jeune, nous gardons une jeunesse éternelle.

« Je comprends ... Moi qui pensais que tu étais plus expérimenté pour te retenir de sauter sur un humain, je viens de me voir que l'on a tous des failles... »

Se fut ses paroles qui me coupa dans les abîmes de mes pensées. Je re déposa à nouveau le regard sur la vampire. Expérimenté non. Je ne suis certainement pas le plus expérimenté, à mes yeux c’est Carlisle qui l’es, la preuve il travail dans un hôpital, des blessures il en a vu et à su réussir à résisté, c’est lui le plus expérimenté. Après tout je n’ai que quinze années de vie vampirique derrière moi. J’ai certes appris à me contrôler, ou plutôt à contrôler mes pulsions meurtrière. Mais si la tentation s’approche de trop prêt, la résistance se fait bien plus difficile.

« Tu surestimes ma capacité à résister. J’ai des failles. Je peux certes me retenir … mais cela reste toujours compliqué. Ont à tous nos faiblesse. Pour moi le plus expérimenté reste Carlisle. »

Je décidais de ne plus regarder l’humaine, de faire abstraction de son odeur, faire comme si elle n’existait plus, j’évitais de lire les pensées de l’humaine, et me concentra sur Esmée, uniquement sur Esmée, me concentra sur ses traits, son odeurs, son allures, ce qui faisait d’elle une femme parfaite. Au bout d’un moment je réussis à oublier celle qui avait réveillé une soit en moi. Esmée rime avec mon remède miracle contre les envies de meurtres. Doucement mais sûrement, je récupéra mon sourire normal, dénuée de grimace et de frustration. Par la même occasion je décidais de laisser un peu d’intimité à ma mère et ne lisant plus dans ses pensées, après tout elle à le droit comme tout le monde d’avoir une vie privé. Et ce n’est pas parce que j’ai le dont de lire dans les pensées que je dois l’utiliser à tout bout de champ ou point de ne plus laisser un instant de répit aux gens

« Merci d’être là Esmée, tu n’aurais pas été là, je pense que demain dans le journal on aurait lu en gros titre : Meurtre sordide dans le parc de Rochester. »

Je ponctuais mes paroles d’un soupçon de moquerie, bien que cela n’avait rien de bien souriant. Bref, c’est de nouveau le sourire aux lèvres que je regardais la femme de mon créateur.